CROCO

CROCO

Équipe

  • Annaïck Guyvarc’h
  • Nadine de La Pallière
  • Sébastien Dony
  • Catherine Goullet

Porteur du projet

Durée

1 an
2021 – 2022

Budget

GIS Marsouin : 5 650€

 

 

CROCO

Le crowdfunding et le financement des communes

Le projet

Les communes sont confrontées depuis plusieurs années à des contraintes financières importantes résultant de stratégies d’assainissement des finances publiques nationales. Elles commencent à utiliser le crowdfunding, notamment depuis la publication du décret N°2015-1670 du 16 décembre 2015. Ainsi, les communes disposent d’une nouvelle source de recette pour financer leurs propres projets.

Notre recherche porte sur trois axes :

  1. Quelles sont les motivations des communes pour ce mode de financement (financement supplémentaire, complémentaire, innovant, outil de communication et d’amélioration de la démocratie locale, instrument de politique publique, ) ?
  2. Comment est perçue l’utilisation de ce financement par les administrés (désengagement, amélioration des services publics, participation au débat citoyen et à la construction des politiques publiques, solidarité sociale et territoriale, ) ?
  3. Face à un modèle économique conditionné par un volume d’activités conséquent, les projets portés par les communes constituent-ils de nouveaux débouchés pour les plateformes de crowdfunding ?

 

Productions, réalisations liées au projet

De La Pallière N., Dony S., Goullet C., Guyvarc’h A., Le crowdfunding dans les communes françaises : un outil de financement de l’action publique et de communication, Management et avenir, Editions EMS, 2021, 126 N°6, pp. 39-61

TIGA

TIGA

Équipe

  • Soumoud GBELLAOUI
  • Amandine CHADUTEAU
  • Nisrine BARKANI

Porteur de projet

Période

2021 – 2022

Les partenaires du projet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TIGA

TERRITOIRE D’INNOVATION ET DE GRANDE AMBITION

 


Le projet

Le projet TIGA (Territoire d’Innovation et de grande ambition) porté par Morbihan Énergie a pour but de réfléchir et de proposer des actions pour utiliser le numérique afin d’améliorer la vie des habitants sur leurs territoires. On parle ainsi de territoires intelligents ou Smart territoires.

Ce projet implique 5 territoires d’expérimentation (dit territoires pilotes) qui sont par ordre alphabétique.

  1. L’ile aux moines
  2. Lorient
  3. Pontivy
  4. Saint-Avé
  5. Vannes

La diversité de ces 5 territoires permet de pouvoir rendre compte des différences dans les besoins de solutions à apporter sur les territoires pour devenir des territoires intelligents.

Le Laboratoire de l’UBS au LEGO à Vannes, fournit son expertise méthodologique pour la collecte et l’analyse des avis des usagers et citoyens d’infrastructures et d’organisations.

Le projet TIGA (territoire d’innovation de grande ambition) est un programme qui est en partie financé par l’État, par la Caisse des dépôts et consignations.


Les axes du projet

 

 

 

 

PeriWork

PeriWork

Équipe

  • Clément MARINOS, Maître de conférences
  • Sébastien LE GALL, Enseignant-chercheur

Porteur de projet

  • Clément MARINOS, Maître de conférences, UBS

Contact projet

Période

2018-2023

Budget

Aide de l’ANR 290 388 €

 

Partenaires

  • ESO ESPACES ET SOCIETES (Porteur du projet: Gehrard KRAUSS)
  • LIRIS Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Innovations Sociétales
  • ARUC TÉLUQ, Université du Québec / ARUC (Alliance de recherche université-communauté)
  • York University / Glendon Campus
  • LEGO Laboratoire d’Economie et de Gestion de l’Ouest
  • Université McGill / McGill School of Urban Planning
  • TVES TERRITOIRES, VILLES, ENVIRONNEMENT ET SOCIETE
  • LEMNA LABORATOIRE D’ECONOMIE ET DE MANAGEMENT NANTES ATLANTIQUE

Anr Peri#Work

Le projet Peri#Work cherche à comprendre le rôle des espaces de travail collaboratif sur leurs territoires, en considérant les caractéristiques et trajectoires géographiques et sociales des usagers, leurs interactions et relations à la fois au sein d’un même espace et avec l’extérieur, leurs mobilités, ainsi que leurs projections sur l’avenir.

Le projet

Le projet prend comme point de départ l’observation d’un essaimage croissant des espaces de travail collaboratif hors métropole, parallèlement à la digitalisation de la société. Ce phénomène s’inscrit dans des tendances de transformation sociétale plus globales qui concernent les manières de travailler et d’organiser le travail, les projets de vie, la conciliation entre sphères professionnelle et privée, la sensibilité grandissante aux enjeux écologiques et les rapports à la mobilité et au territoire. Cette tendance existait déjà avant la crise sanitaire Covid-19, mais elle se trouve finalement renforcée par cette dernière, l’amplifiant et la rendant davantage visible. Elle est liée à de nouveaux comportements de travailleurs du savoir qui cherchent à échapper à la ville et qui voient dans les espaces de travail collaboratif hors métropole un moyen pour concilier leurs projets professionnels et de vie, tout en bénéficiant des réseaux technologiques et sociaux. Le profil de cette catégorie réunit un certain nombre de traits communs (même si sa composition reste assez hétérogène) : un certain niveau d’éducation et de formation professionnelle, parfois même sans diplôme, des parcours marqués par des mobilités et bifurcations, une assez grande autonomie et individualité dans l’exercice de l’activité professionnelle (en tant qu’entrepreneur, indépendant ou travailleur autonome, mais aussi parfois en tant que salarié hautement qualifié et expérimenté). Cette population est aujourd’hui assez minoritaire sur les territoires. Cependant, on peut penser qu’elle y apporte du renouveau. Ce projet cherche à comprendre le rôle de ces espaces sur leurs territoires, en considérant les caractéristiques et trajectoires géographiques et sociales des usagers, leurs interactions et relations à la fois au sein d’un même espace et avec l’extérieur, leurs mobilités, ainsi que leurs projections sur l’avenir. 

Les enjeux

Corollaire de l’économie numérique, l’espace de travail collaboratif a essaimé des centres métropolitains vers leurs périphéries proches et éloignées, et vers les petites villes. Ce phénomène récent offre à ces territoires de nouvelles perspectives certes exigeantes, mais prometteuses.
L’économie du savoir a produit des actifs indépendants, nomades et ultra-connectés – les location independent workers, à la recherche de nouveaux modes de vie et rebattant les cartes des rapports au travail, au logement, à la mobilité.
L’espace de travail collaboratif périurbain ou non métropolitain crée des “noeuds”, recoupement de réseaux et de créativité. Il interpelle les décideurs territoriaux sur les nouveaux défis des politiques publiques, y compris sur la question de l’environnement. L’espace de travail collaboratif, s’inscrira-t-il dans le temps et sur son territoire ? Quel est “l’ADN sociologique” des utilisateurs ? Quelles synergies s’y développent ?
Une équipe de recherche pluridisciplinaire canado-européenne rencontrera ces nouveaux travailleurs dans leurs espaces de travail collaboratifs pour, au-delà du phénomène, étudier les prémices d’un changement de société.

 

DAT – ACTM

DAT – ACTM

Équipe

  • Christine Petr
  • Leila Damak
  • Pascale Ertus
  • Céline Jacob
  • Christine Bougeard-Delfosse
  • Jacques Fischer Lokou
  • Laurent Guillet
  • Julie Lassalle
  • Florence Gourlay
  • Jean-François Klein
  • Imane El Hamdi
  • Yolande Piris
  • Michel Gentric
  • Julie Pasquer-Jeanne
  • Claire Maheo
  • Manuelle Aquilina
  • Agnès Lecompte

Porteur du projet

  • Christine Petr: petr@univ-ubs.fr

Durée

2 ans

Budget

120k€

 

 

DATA – ATCM

Accompagnement à la structuration et validation du positionnement d’un axe de recherche spécialisé sur l’utilisation des Data au profit des Activités de Culture et de Tourisme

Objectifs

La transformation digitale de la culture et du tourisme appelle un accompagnement scientifique centré sur les impacts du numérique sur ces secteurs (usages, outils, management, modèles d’affaire, limites, etc.).

En l’absence de structure nationale dédiée, le projet Dat-ACTM vise à former en Bretagne un axe de recherche sur le numérique au service de la culture et du tourisme.

Il s’agit, via la mutualisation des ressources humaines et techniques, de développer et valoriser une expertise en la matière : publications, applications managériales et techniques, partenariats.

Le projet est pluridisciplinaire, en collaboration avec  les collectivités, les acteurs socio-économiques et nos pairs académiques.

 

NUTRICHIC

NUTRICHIC

NUTRICHIC

2018-2022

Améliorer l’expérience alimentaire en EHPAD

EQUIPE

Samuel GUILLEMOT
Annick TAMARO
Sylvie CODO
Margot DYEN

Porteurs du projet

– Centre Hospitalier de Cornouaille

– LEGO : Samuel GUILLEMOT

 

Contact

samuel.guillemot@univ-brest.fr

Le projet 

L’objectif principal du projet NutriCHIC vise à améliorer l’expérience alimentaire en EHPAD pour les résidents et les professionnels afin de lutter plus efficacement contre la dénutrition et accroître, par le plaisir alimentaire, le bien-être individuel et collectif. Il s’agit d’identifier les meilleurs leviers – sociologiques, organisationnels et /ou sensoriels – à activer pour améliorer l’expérience des repas en EHPAD pour les résidents / professionnels. Le projet est piloté par le Centre Hospitalier de Cornouaille. Il a été valorisé par Valorial et est financé par la région Bretagne. Le LEGO coordonne 2 lots qui vise à (1) développer des connaissances sur les pratiques/consommation alimentaires des personnes âgées en EHPAD, (2) Développer des connaissances sur les liens entre pratiques alimentaires & bien-être subjectifs des seniors.

PRODUCTIONS LIÉES AU PROJET

  • Samuel Guillemot, Margot Dyen, Annick Tamaro. Les leviers de l’adaptation à l’alimentation en EHPAD. Journée de recherche interdisciplinaire : Pratiques alimentaires, santé et territoire, Jun 2020, Brest, France. ⟨hal-02867027⟩
  • Margot Dyen, Samuel Guillemot, Annick Tamaro. Transition entre le 3ème et le 4ème âge : Comment se construit l’attitude vis-à-vis de la dépendance. 19ème Joournées Normandes de la Recherche sur la Consommation, Nov 2020, Caen, France. ⟨hal-03027098⟩
  • Margot Dyen, Andréa Gourmelen, Samuel Guillemot, Ziad Malas, Annick Tamaro. Impact des dimensions du vieillissement sur les changements de pratiques alimentaires : Une approche compréhensive. 36ème congrès international de l’Association Française du Marketing, May 2020, Biarritz, France. ⟨hal-02867017⟩
  • Samuel Guillemot, Annick Tamaro, Margot Dyen. Le processus d’adaptation dans un service négatif : le cas de l’alimentation dans les EHPAD. 18èmes Journées Normandes de Recherches sur la Consommation, Nov 2019, Angers, France. ⟨hal-02475910⟩
AlimDuRAble

AlimDuRAble

AlimDURAble

Projet 2018 -2021

Domaine d'expertise :

Pratiques responsables et alimentation

Morgane INNOCENT

Morgane INNOCENT

Chercheuse Post-doctorante chez Université de Bretagne Occidentale

mail@univ-ubs.fr

Site web : #

Description courte du projet :

 

Projet de recherche financé par l’ADEME dans le cadre de l’appel à Projet de Recherche
« Transitions écologiques, économiques et sociales », AlimDURAble s’intéresse aux mécanismes de la transition vers une alimentation plus durable.

Plus précisément, le projet vise à construire des outils pour évaluer la diffusion des pratiques alimentaires vertueuses [d’un point de vue environnemental] chez les consommateurs, et comment le numérique peut supporter cette diffusion sur un territoire.

1  UNITÉ DE RECHERCHE PORTEUSE DU PROJET

9 CHERCHEURS IMPLIQUÉS

4 PARTENAIRES : UBO, UBS, AOLEN, LORIENT AGGLOMÉRATION

2000 PARTICIPANTS

BUDGET : 193 000 EUROS (accordé par l’ADEME)

DURÉE : 3 ANS

Les enjeux :

LORIENT AGGLOMÉRATION

« De nombreuses initiatives citoyennes sur le territoire témoignent d’une volonté des consommateurs de devenir acteurs de leur alimentation. Au travers le Projet Alimentaire Territorial du Pays de Lorient, Lorient Agglomération entend répondre à ces besoins. Il s’agit de promouvoir et de développer une alimentation de qualité ainsi que de conforter l’économie agricole locale. Le projet AlimDURAble s’inscrit dans cette démarche, en off rant notamment la possibilité aux habitants de tester de nouveaux outils pour devenir acteurs de la transition alimentaire locale. Il vient aussi alimenter le projet de fi lière alimentaire locale, qui concerne et engage tous les acteurs de la filière ».

ALOEN

« Impliquer les habitants dans le processus de transitions écologique et sociétale n’est pas chose simple. Les 12 années d’expérience de l’agence en la matière (Espace Info Energie, Familles à Alimentation Positive, Projet SOLENN, « Aventure des Carbonautes », etc.) montrent que l’alimentation constitue un point d’entrée très efficace pour amener d’autres changements d’usage nécessaires à la lutte contre le changement climatique et à notre adaptation à ses eff ets négatifs ».

 

Les objectifs :

Mieux comprendre les liens qui existent entre les compétences des mangeurs et leurs pratiques effectives. Grâce à ces informations, évaluer comment le numérique peut-être un outil vers une alimentation plus durable.

 

Les grandes étapes :

ÉTAPE 1 – Durée 1 an et demi : Grâce à une combinaison inédite de questionnaires et d’observations, l’étude souhaite mesurer les pratiques de l’alimentation durable au sein de la société. Seront étudiés les gestes du quotidien et les compétences nécessaires (connaissances, savoir-faire du quotidien, savoir évaluer la portée de ses gestes). À ce jour l’évolution des pratiques alimentaires durables est évaluée, de manière indirecte, au travers des données de consommation. Les pratiques elles-mêmes sont analysées à l’aide d’études qualitatives, qui sont cependant difficilement généralisables à toute la population.

ÉTAPE 2 – Durée 2 ans et demi :  Évaluer l’effet d’une application dédiée à un territoire, qui vise à faciliter la vie des usagers pour s’alimenter de façon plus durable.

 

Les partenaires :

Laboratoire LEGO : Créé en janvier 2017, le Laboratoire d’Économie et de Gestion de l’Ouest couvre la recherche en sciences économiques et en sciences de gestion de Vannes à Brest, de la Bretagne Sud à la Bretagne Occidentale. Trois établissements d’enseignement supérieur ont fondé le laboratoire : deux universités (l’Université de Bretagne Occidentale, l’Université de Bretagne Sud) et une école d’ingénieur (l’Institut Mines-Telecom Atlantique). En conséquence, le LEGO est un des plus importants laboratoires bretons en économie et en gestion : il regroupe plus de 100 chercheurs, dont une trentaine de doctorants.

ALOEN : ALOEN a été fondée en 2005 à l’initiative de Lorient Agglomération, de l’ADEME Bretagne et du Conseil régional. Association à but non lucratif, elle est fi nancée à 100 % par des fonds publics (Lorient Agglomération, Région, ADEME Bretagne, Auray Quiberon Terre Atlantique, bailleurs sociaux). Forte de cette neutralité, elle a pour objet de favoriser et entreprendre, sous l’impulsion et le contrôle de ses membres, des opérations visant à la maîtrise et l’utilisation rationnelle de l’énergie, la promotion des énergies renouvelables et la contribution à la protection de l’environnement.

LORIENT AGGLOMÉRATION : Lorient Agglomération regroupe 25 communes animées par la volonté de réaliser ensemble un projet de territoire que l’intercommunalité rend plus dynamique et plus ambitieux. Deux concepts conduisent la stratégie de l’agglomération. Celui de «mer, rade, vallées» qui définit bien l’identité géographique du territoire et celui de développement durable qui donne du sens aux actions menées par Lorient Agglomération. Troisième agglomération de Bretagne, Lorient Agglomération met au coeur de son projet ses 206 836 habitants pour en faire un territoire de vie, dynamique et durable, ouvert sur le monde.