3ème Journées Pratiques Alimentaires, Santé et Territoires

3ème Journées Pratiques Alimentaires, Santé et Territoires

3ème Journées Pratiques Alimentaires, Santé et Territoires
16 et 17 mai 2024

Au programme : des communications scientifiques, une table ronde et la présentation des résultats de la 1re édition du baromètre d’image. Trois sessions de communications ont été programmées, la première sur les pratiques alimentaires et la vie de famille, la deuxième sur l’alimentation durable, naturalité et bien-être et la troisième sur les applications et a prise de décision du mangeur.

La table ronde a regroupé différents acteurs des collectivités territoriales et des entreprises agroalimentaires. Celle-ci a été animée par Béatrice Sommier et a réuni Vefa Zanchi et Emmanuelle Jungblut – Co-gérantes de BioBleud, Nathalie Chaline – VP Brest Métropole – Eau et assainissement, économie des transitions et alimentation durable et Jean-Paul Linet – Directeur Qualité et RSE LAÏTA, Groupe EVEN. Pour finir, Camille Chédotal et Kamila Aït Yahia ont présenté les résultats de la 1ère édition du Baromètre de la confiance dans l’alimentation durable de l’OPADE.

Appel à communication – 3ème journée des pratiques alimentaires durables

Appel à communication – 3ème journée des pratiques alimentaires durables

𝐀𝐩𝐩𝐞𝐥 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐮𝐧𝐢𝐜𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧

« Pratiques alimentaires, santé et territoire »

La Chaire PADE organise la 3ème journée interdisciplinaire de recherche sur les pratiques alimentaires, la santé et le territoire qui aura lieu le jeudi 16 mai et vendredi 17 mai (matinée) 2024 à BREST.

💡 Son objectif est de favoriser des échanges interdisciplinaires en incluant les acteurs socio-économiques et académiques, sur l’évolution des pratiques alimentaires ancrées dans un territoire et leurs effets aussi bien micro (sur la santé et le bien-être de l’individu) que macro (au niveau du territoire).

 ⚠ Date limite de réception des communications : Mardi 20 février 2024.

Le projet Mynion se lance au niveau nationnal !

Le projet Mynion se lance au niveau nationnal !

Depuis le lancement en avril dernier, près de 𝟒𝟎𝟎 𝐟𝐨𝐲𝐞𝐫𝐬 𝐛𝐫𝐞𝐭𝐨𝐧𝐬 se sont inscrits à l’étude participative ! 🌊🏡

Toute l’équipe du projet se mobilise et à ce jour, déjà 69 moisissures ont été réceptionnées par les chercheurs de Brest et de Montpellier.

Nous sommes à la moitié du parcours 💪 , il est temps de 𝐥𝐚𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐥’é𝐭𝐮𝐝𝐞 𝐚𝐮 𝐧𝐢𝐯𝐞𝐚𝐮 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 ! Plus il y aura de régions, plus l’étude sera représentative !
📢 𝗗𝗲 𝗕𝗿𝗲𝘁𝗮𝗴𝗻𝗲 𝗼𝘂 𝗱’𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗹𝗮 𝘀𝗰𝗶𝗲𝗻𝗰𝗲 𝗮 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻 𝗱𝗲 𝘃𝗼𝘂𝘀 !
 

Mon article en 3 minutes – Association française de Marketing

Mon article en 3 minutes – AFM

Kimberley Girardon, post-doctorante, Patrick Gabriel, enseignant chercheur et directeur du laboratoire d’économie et de science de gestion de Brest, nous présente leur article intitulé « Incitation au tri des déchets: expérimentation de signalisations sur point d’apport volontaire » , publié dans la revue « Décisions Marketing »  et co écrit avec Mickaël Dupré, Maître de conférence au sein de l’Université de Polynésie française.

Retrouvez plus d’informations ci-dessous :

Le site de l’AFM: https://www.afm-marketing.org/
Chaine Youtube de l’AFM: https://www.youtube.com/@AFMarketing

 

ANR – Mynion

ANR – Mynion

Pilotage de projet

  • LUBEM UR 3882

Responsable de projet

  • Coton Monika, Enseignante-chercheuse

Contact projet

  • Dr. Monika COTON Enseignante-chercheuse
    monika.coton@univ-brest.fr

    Laboratoire LUBEM UR3882

    Technopôle Brest-Iroise
    29280 Plouzané, FranceTél 02 90 91 51 00

Durée

48 mois
Janvier 2023 – décembre 2026

Budget

604 K€
Financé par l’ANR

ANR – MYNION

MYcotoxiN migratION in moldy foods and exposure at the consumer level: one step further to determine consumer habits, provide safe consumer recommendations and limit food losses

« Les mycotoxines produites dans les aliments moisis : pratiques du consommateur et recommandations pour assurer leur sécurité et limiter le gaspillage alimentaire »

Le projet

Les moisissures altèrent la qualité des produits jusqu’à les rendre impropres à la consommation, conduisant à un gaspillage alimentaire.  Mais elles peuvent également constituer un risque sanitaire car certaines espèces fongiques peuvent produire des mycotoxines susceptibles de migrer dans l’aliment sans que le consommateur ne puisse les détecter. Dans ce contexte, MYNION, projet de recherche financé par l’ANR dans le cadre de l’appel à projet de recherche « Alimentation et Systèmes alimentaires », s’intéresse, d’une part, au comportement des consommateurs vis-à-vis des produits moisis et, d’autre part, à la réalité de la contamination fongique au sein des ménages français via une approche de science participative. Les espèces fongiques contaminantes seront ensuite étudiées pour évaluer leur potentiel de production de mycotoxines et la migration des mycotoxines dans les aliments et ainsi prendre en compte ce risque sanitaire. Ce projet vise à déterminer des pratiques/scénarii à risque et à donner aux consommateurs des recommandations simples pour réduire le gaspillage alimentaire tout en assurant leur sécurité.

Objectifs

Ce projet vise à déterminer des pratiques/scénarii à risque sous l’angle de la contamination fongique des aliments et à donner aux consommateurs des recommandations simples pour réduire le gaspillage alimentaire tout en assurant leur sécurité. Ces recommandations seront largement diffusées par les partenaires du projet à destination du grand public et de la communauté scientifique. Ce projet s’inscrit dans les objectifs récemment annoncés pour l’European Green Deal (Pacte vert pour l’Europe) et la stratégie “de la ferme à l’assiette” visant à rendre nos systèmes alimentaires plus durables, et plus largement dans des objectifs généraux de développement durable au niveau mondial.

Partenaires

LOCAPPRO

LOCAPPRO

Équipe

  • Kimberley GIRARDON, Ingénieure de recherche
  • Patrick GABRIEL, Enseignant-chercheur
  • Meriam KARAA, Maître de conférences
  • Philippe BREST, Maître de conférences
  • Hanane EL BAHRAOUI, Enseignante-chercheuse

Porteurs de projet

  • Morgane INNOCENT, Ingénieure de recherche, enseignante-chercheuse
  • Mourad MAKKACI, Enseignant-chercheur

Contact projet

Durée

14 mois

Budget

60.5 K€
Dont 38.5 K€ par Brest Métropole

Partenaires

 

LOCAPPRO

Étude du besoin et de l’opportunité de la création d’un outil de LOgistique mutualisé pour faCiliter l’APPROvisionnement local en restauration collective et commerciale pour le territoire de Brest Métropole

Le projet

Projet de recherche financé par l’UBO et Brest Métropole (BM) dans le cadre de son Projet Alimentaire Métropolitain, ce projet s’intéresse aux circuits alimentaires intra-territoriaux, en vue d’améliorer et partager la connaissance des circuits courts de nos « territoires alimentaires » dans le but de les dynamiser. Plus précisément, le projet vise à interroger l’adéquation entre la demande et l’offre en approvisionnement local et à réfléchir à la pertinence et la forme d’un outil de mise en relation des acteurs du système alimentaire pour faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale sur BM.

Objectifs

Déterminer s’il existe un besoin côté demande et une opportunité côté offre pour le développement des circuits locaux d’approvisionnements via notamment la réflexion sur un outil logistique mutualisé sur le territoire de BM visant à faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale. Si oui, parvenir à définir les spécificités de l’outil idéal adapté à la problématique du territoire.

Partenaires

Au cœur d’un bassin de vie de 400 000 habitants, Brest métropole constitue le point d’ancrage de la Bretagne occidentale. Créée en 1974, la Communauté urbaine de Brest, devenue métropole le 1er janvier 2015, regroupe huit communes fondatrices, soit environ 212 000 habitants. Cette coopération intercommunale traduit la volonté des 8 communes d’agir ensemble pour un meilleur service à la population, un aménagement plus harmonieux, le fonctionnement des services urbains ignorant les frontières. Ces domaines d’intervention recouvrent notamment les domaines du développement économique, culturel et social ; de l’espace communautaire ; de politique de la Ville dans la communauté et d’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire ; de la gestion des grands services d’intérêt collectif, de protection et de mise en valeur de l’environnement, et de politique du cadre de vie.