PeriWork

PeriWork

Équipe

  • Clément MARINOS, Maître de conférences
  • Sébastien LE GALL, Enseignant-chercheur

Porteur de projet

  • Clément MARINOS, Maître de conférences, UBS

Contact projet

Période

2018-2023

Budget

Aide de l’ANR 290 388 €

 

Partenaires

  • ESO ESPACES ET SOCIETES (Porteur du projet: Gehrard KRAUSS)
  • LIRIS Laboratoire Interdisciplinaire de Recherche en Innovations Sociétales
  • ARUC TÉLUQ, Université du Québec / ARUC (Alliance de recherche université-communauté)
  • York University / Glendon Campus
  • LEGO Laboratoire d’Economie et de Gestion de l’Ouest
  • Université McGill / McGill School of Urban Planning
  • TVES TERRITOIRES, VILLES, ENVIRONNEMENT ET SOCIETE
  • LEMNA LABORATOIRE D’ECONOMIE ET DE MANAGEMENT NANTES ATLANTIQUE

Anr Peri#Work

Le projet Peri#Work cherche à comprendre le rôle des espaces de travail collaboratif sur leurs territoires, en considérant les caractéristiques et trajectoires géographiques et sociales des usagers, leurs interactions et relations à la fois au sein d’un même espace et avec l’extérieur, leurs mobilités, ainsi que leurs projections sur l’avenir.

Le projet

Le projet prend comme point de départ l’observation d’un essaimage croissant des espaces de travail collaboratif hors métropole, parallèlement à la digitalisation de la société. Ce phénomène s’inscrit dans des tendances de transformation sociétale plus globales qui concernent les manières de travailler et d’organiser le travail, les projets de vie, la conciliation entre sphères professionnelle et privée, la sensibilité grandissante aux enjeux écologiques et les rapports à la mobilité et au territoire. Cette tendance existait déjà avant la crise sanitaire Covid-19, mais elle se trouve finalement renforcée par cette dernière, l’amplifiant et la rendant davantage visible. Elle est liée à de nouveaux comportements de travailleurs du savoir qui cherchent à échapper à la ville et qui voient dans les espaces de travail collaboratif hors métropole un moyen pour concilier leurs projets professionnels et de vie, tout en bénéficiant des réseaux technologiques et sociaux. Le profil de cette catégorie réunit un certain nombre de traits communs (même si sa composition reste assez hétérogène) : un certain niveau d’éducation et de formation professionnelle, parfois même sans diplôme, des parcours marqués par des mobilités et bifurcations, une assez grande autonomie et individualité dans l’exercice de l’activité professionnelle (en tant qu’entrepreneur, indépendant ou travailleur autonome, mais aussi parfois en tant que salarié hautement qualifié et expérimenté). Cette population est aujourd’hui assez minoritaire sur les territoires. Cependant, on peut penser qu’elle y apporte du renouveau. Ce projet cherche à comprendre le rôle de ces espaces sur leurs territoires, en considérant les caractéristiques et trajectoires géographiques et sociales des usagers, leurs interactions et relations à la fois au sein d’un même espace et avec l’extérieur, leurs mobilités, ainsi que leurs projections sur l’avenir. 

Les enjeux

Corollaire de l’économie numérique, l’espace de travail collaboratif a essaimé des centres métropolitains vers leurs périphéries proches et éloignées, et vers les petites villes. Ce phénomène récent offre à ces territoires de nouvelles perspectives certes exigeantes, mais prometteuses.
L’économie du savoir a produit des actifs indépendants, nomades et ultra-connectés – les location independent workers, à la recherche de nouveaux modes de vie et rebattant les cartes des rapports au travail, au logement, à la mobilité.
L’espace de travail collaboratif périurbain ou non métropolitain crée des « noeuds », recoupement de réseaux et de créativité. Il interpelle les décideurs territoriaux sur les nouveaux défis des politiques publiques, y compris sur la question de l’environnement. L’espace de travail collaboratif, s’inscrira-t-il dans le temps et sur son territoire ? Quel est « l’ADN sociologique » des utilisateurs ? Quelles synergies s’y développent ?
Une équipe de recherche pluridisciplinaire canado-européenne rencontrera ces nouveaux travailleurs dans leurs espaces de travail collaboratifs pour, au-delà du phénomène, étudier les prémices d’un changement de société.

 

DAT – ACTM

DAT – ACTM

Équipe

  • Christine Petr
  • Leila Damak
  • Pascale Ertus
  • Céline Jacob
  • Christine Bougeard-Delfosse
  • Jacques Fischer Lokou
  • Laurent Guillet
  • Julie Lassalle
  • Florence Gourlay
  • Jean-François Klein
  • Imane El Hamdi
  • Yolande Piris
  • Michel Gentric
  • Julie Pasquer-Jeanne
  • Claire Maheo
  • Manuelle Aquilina
  • Agnès Lecompte

Porteur du projet

  • Christine Petr: petr@univ-ubs.fr

Durée

2 ans

Budget

120k€

 

 

DATA – ATCM

Accompagnement à la structuration et validation du positionnement d’un axe de recherche spécialisé sur l’utilisation des Data au profit des Activités de Culture et de Tourisme

Objectifs

La transformation digitale de la culture et du tourisme appelle un accompagnement scientifique centré sur les impacts du numérique sur ces secteurs (usages, outils, management, modèles d’affaire, limites, etc.).

En l’absence de structure nationale dédiée, le projet Dat-ACTM vise à former en Bretagne un axe de recherche sur le numérique au service de la culture et du tourisme.

Il s’agit, via la mutualisation des ressources humaines et techniques, de développer et valoriser une expertise en la matière : publications, applications managériales et techniques, partenariats.

Le projet est pluridisciplinaire, en collaboration avec  les collectivités, les acteurs socio-économiques et nos pairs académiques.

 

RUDI

RUDI

Équipe

  • Christine PETR
  • Pascale ERTUS

Contact Projet

  • Simon SAINT-GEORGES

Porteur du projet

  • Rennes Métropole

Budget

350 K€
Financement Union Européenne dans le cadre du programme UIA

Durée

3 ans

Unité de recherche impliquée : Laboratoire LEGO
2 chercheurs du LEGO impliqués
12 partenaires : Laboratoire Lego, Rennes Métropole, IRISA, Laboratoire de recherche Université Rennes 1, Ouishare, société de communication, Fing Association, Tiriad association, CODEV : Conseil de Development de Rennes Metropole, Keolis Rennes, Enedis Bretagne, GRDF, Ouest-France

 

RUDI

Rennes Urban Data Interface

 

L’ambition de RUDI est de permettre aux administrations, aux entreprises privées, aux associations et aux chercheurs de Rennes Métropole d’accéder facilement à une grande diversité de données afin de produire des services performants, respectueux de la vie privée et de l’intérêt général.

Le projet RUDI consiste à développer un portail web d’accès aux données du territoire pour favoriser l’usage de ces données par tous les partenaires du projet mais aussi par l’ensemble des citoyens rennais. RUDI est basé sur la création d’un méta-catalogue de données et propose des fonctionnalités dédiées aux particuliers pour renforcer leur connaissance et leur contrôle sur l’usage de leurs données personnelles et aux porteurs de projet afin de faciliter la gestion des droits sur les données et la mise en œuvre de modèles économiques innovants.

Objectif

Co-construire un portail de partage et d’accès aux données territoriales, destiné à l’ensemble des acteurs locaux. 

Financement

Union Européenne dans le cadre du programme UIA

Partenaires et équipes de recherche impliquées

12 partenaires aux compétences différentes : des producteurs de données engagés dans une démarche d’ouverture et de partage, des associations expertes des usages du numérique et de la collaboration, ou encore des laboratoires de recherche.

Rubrique productions – réalisations

Livrables : étude qualitative menée auprès des citoyens de Rennes Métropole

Communications dans colloques :

  • Ertus P. et Petr C. (2022), Obtaining consent: contributions of the consent case to data sharing in smart cities. 21st International Marketing Trends Conference (IMTC), Jan 2022, Rome, Italie.
  • Ertus P. et Petr C. (2021), Share your data to serve collective interest of the place where you live : the declaration of intent of the citizens of Rennes metropolis (European Project RUDI-UIA -France). International Research Days Aschaffenburg UAS, Jan 2021, Aschaffenburg, Germany.

 

 

LOCAPPRO

LOCAPPRO

Équipe

  • Kimberley GIRARDON, Ingénieure de recherche
  • Patrick GABRIEL, Enseignant-chercheur
  • Meriam KARAA, Maître de conférences
  • Philippe BREST, Maître de conférences
  • Hanane EL BAHRAOUI, Enseignante-chercheuse

Porteurs de projet

  • Morgane INNOCENT, Ingénieure de recherche, enseignante-chercheuse
  • Mourad MAKKACI, Enseignant-chercheur

Contact projet

Durée

14 mois

Budget

60.5 K€
Dont 38.5 K€ par Brest Métropole

Partenaires

 

LOCAPPRO

Étude du besoin et de l’opportunité de la création d’un outil de LOgistique mutualisé pour faCiliter l’APPROvisionnement local en restauration collective et commerciale pour le territoire de Brest Métropole

Le projet

Projet de recherche financé par l’UBO et Brest Métropole (BM) dans le cadre de son Projet Alimentaire Métropolitain, ce projet s’intéresse aux circuits alimentaires intra-territoriaux, en vue d’améliorer et partager la connaissance des circuits courts de nos « territoires alimentaires » dans le but de les dynamiser. Plus précisément, le projet vise à interroger l’adéquation entre la demande et l’offre en approvisionnement local et à réfléchir à la pertinence et la forme d’un outil de mise en relation des acteurs du système alimentaire pour faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale sur BM.

Objectifs

Déterminer s’il existe un besoin côté demande et une opportunité côté offre pour le développement des circuits locaux d’approvisionnements via notamment la réflexion sur un outil logistique mutualisé sur le territoire de BM visant à faciliter l’approvisionnement local en restauration collective et commerciale. Si oui, parvenir à définir les spécificités de l’outil idéal adapté à la problématique du territoire.

Partenaires

Au cœur d’un bassin de vie de 400 000 habitants, Brest métropole constitue le point d’ancrage de la Bretagne occidentale. Créée en 1974, la Communauté urbaine de Brest, devenue métropole le 1er janvier 2015, regroupe huit communes fondatrices, soit environ 212 000 habitants. Cette coopération intercommunale traduit la volonté des 8 communes d’agir ensemble pour un meilleur service à la population, un aménagement plus harmonieux, le fonctionnement des services urbains ignorant les frontières. Ces domaines d’intervention recouvrent notamment les domaines du développement économique, culturel et social ; de l’espace communautaire ; de politique de la Ville dans la communauté et d’équilibre social de l’habitat sur le territoire communautaire ; de la gestion des grands services d’intérêt collectif, de protection et de mise en valeur de l’environnement, et de politique du cadre de vie.

 

RETERALIM

RETERALIM

Responsable de projet

  • Agnès LECOMPTE – Maître de conférences

Équipe

Laboratoire GÉOARCHITECTURE

  • Florence GOURLAY – Maître de conférence
  • Ronan LE DELEZIR – Maître de conférence
  • Emma LE LAY – Ingénieure d’études
  • Jean-Baptiste PASBECQ – Stagiaire Master 2

Laboratoire LEGO

  • Camille CLEUZIOU – Ingénieure d’études
  • Morgane INNOCENT – Ingénieure de recherche
  • Mériam KARAA – Maître de conférence
  • Manon LOBJOIS – Doctorante
  • Jomana MAHFOD – Maître de conférence
  • Hasna SABIR – Enseignante chercheuse

UCO

  • Sylvie FOUTREL – Maître de conférence

 

2 Laboratoires impliqués : Laboratoire LEGO, Laboratoire Géoarchitecture
3 partenaires : Lorient agglomération Mady & Co, la Chambre d’Agriculture du Morbihan
BUDGET : 186 k€ (financé par ADEME)
DURÉE : 2 ans

RETERALIM

Reterritorialisation de l’alimentation par le développement des filières locales: le cas du Pays de Lorient

Objectifs

 

Le projet vise à accompagner les institutions publiques du Pays de Lorient dans leur effort de création de filières alimentaires locales. Il s’agira principalement d’identifier sous quelles conditions les producteurs pourraient privilégier des filières de distribution intraterritoriales, et de mettre en évidence les solutions et infrastructures logistiques nécessaires à la mise en place d’un tel objectif. Au-delà des éléments de diagnostic et d’identification de solution, le projet sera une occasion indirecte de mobiliser les producteurs auprès des solutions existantes, et d’aider à l’animation de filières locales existantes ou en construction.

Le projet est organisé en trois lots qui permettront in fine de répondre à trois grands objectifs:

  • Comprendre les leviers et les freins au niveau des acteurs de la production et de la logistique pour une reterritorialisation de l’alimentation.
  • Étudier les liens que ces démarches pourraient entretenir avec la réduction de l’agribasching.
  • Apporter des éléments de connaissance concernant les méthodes de création de nouvelles filières territorialisées.

Méthodologie

La méthodologie du projet de recherche suit une méthodologie de recherche-action qui s’appuiera sur des données terrain auprès des producteurs/éleveurs d’une part et auprès des acteurs intervenant dans la filière logistique d’autre part.
Dans un premier lot, la méthodologie se base sur une série d’entretiens qualitatifs, pour étudier la filière lait du pays de l’orient, du fait d’une initiative prometteuse en cours sur le territoire.
Dans un second lot, des enquêtes qualitatives seront menées avec es producteurs et des acteurs de la logistique sur deux filières agricoles du Pays de Lorient pour élargir le sujet au-delà de la filière lait.
Enfin dans un dernier lot, des enquêtes quantitatives et une cartographie de ces deux filières viendront valider et quantifier les résultats.

 

Résultats

Le projet donnera lieu à trois livrables ayant vocation à accompagner la transformation du système alimentaire territorial du Pays de Lorient: profilage des producteurs du territoire et une cartographie des acteurs par filière, recommandations sur les outils permettant d’améliorer l’image des producteurs du territoire et de sensibiliser les habitants au soutien du système alimentaire local.